Sur la trace des retraités… avec des retraités hyperactifs !

texte et photos : Jacques Wald

Tout le monde avait remarqué que les dernières sorties étaient placées sous le signe de l’absence : introuvables les ravioles, anecdotiques les vignes, invisibles les écureuils…….

Cette fois les organisateurs ont joué la sécurité et effectivement des retraités il y en avait… et pas qu’un, mais des retraités hyperactifs et en grande forme. Certains avaient même choisi de s’échauffer en partant de GRENOBLE pour approcher le massif de la Chartreuse.

Mais le diable se niche cependant dans les détails :

Si VOREPPE est une Porte de la Chartreuse comme le confirme son blason avec le globe des Chartreux et les 7 étoiles correspondent aux 7 compagnons de Bruno le fondateur de l’ordre cartusien,

La randonnée va finalement se dérouler dans le Sud-Grésivaudan au milieu des noyeraies.

Allez y comprendre la logique ! Il est vrai que les dénominations Randonnées de la Noix ou des Noyers, Sud-Grésivaudan étaient déjà usitées.

C’est ainsi que le 1er groupe de 6 (Annie, Alain, François, Pascal, Philippe et le scribouillard) s’est élancé à 10h tapantes. « Malheur » aux retardataires, François prenant la place de Gérard inscrit initialement. La 1ère difficulté a été de trouver la sortie du parking pour se lancer dans une mise en route plus confortable le long de l’Isère que s’il avait fallu s’attaquer au col de la Placette par exemple.

En un éclair ou presque, nous avons quitté la digue pour une escapade à POLIENAS. Ce qui a permis à certains de s’équiper pour la pause casse-croute et à d’autre de se remémorer des moments personnels marquants (n’est-ce pas Pascal ? en l’Eglise Saint Jean-Baptiste). Puis il a fallu jongler entre autoroute et Isère : une maille à l’endroit, une maille à l’envers pour rejoindre, par une superbe route bucolique au pied du Vercors, COGNIN-LES-GORGES, le point le plus au sud de la randonnée.

Décision fût prise se préparer à une pause casse-croûte sur l’autre rive en traversant l’Isère au niveau de VINAY. Finalement la pause se fera à L’ALBENC sur une aire dédiée au vélo avec toutes les commodités. Nous y avons été rejoints par le 2nd groupe light (Jean-Michel, Pascal et Pierre) après les avoir invités à choisir un autre site de pause dans un esprit de bonne camaraderie… pour satisfaire aux fameux gestes barrières.

Les organisateurs et créateurs du circuit avaient prévu finalement d’associer difficultés (dénivelé) et digestion. Pourquoi pas ? Nous avons ainsi atteint CRAS et MORETTE, croisé des drôles d’étalons (voir photo). Digestion faite, il ne restait plus qu’à descendre sur TULLINS pour le café (?) – Raté une nouvelle fois.

Une partie de manivelles dans la plaine entre FURE et ISERE nous a permis de rejoindre nos amis des 2 groupes du circuit court juste avant de rejoindre la digue qui nous ramènerait au point de départ.

Pour la petite histoire nous avons croisé des CTG (Hervé en tête) qui avaient fait une sacrée grasse mâtinée en étant en sens inverse à 4 km de l’arrivée, prétextant un vent de face….!!

Puis ce sont 3 lâcheurs (Pierre, François et moi-même) qui avons continué direction GRENOBLE pour une sortie ensoleillée, roulante et dans la bonne humeur dépassant les 110 km pour certains.

Jacques WALD

        

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