Le brouillard de la Matheysine… dimanche 1er octobre 2017

au départ de Séchilienne

Beau temps annoncé, mais quelques nuages bien noirs au réveil… consultation météo, pas trop mauvais !
Alors c’est parti ! Nous sommes 7 CTG motivés (dont 3 féminines) au départ de Séchilienne. La température est fraîche.
Après quelques mètres, PCCCHHHHIIIIITTTT ! C’est Jean-Paul V qui crève ! La route encore humide y est peut-être pour quelque chose. Réparation à l’ancienne (à la rustine) et ça tiendra jusqu’au bout.
La montée sur Laffrey nous réchauffe rapidement.

Nous longeons le lac, en le contournant par Cholonge, village très animé à l’occasion de la Verticale du Grand Serre (un raid pour costauds !)
Après la traversée de Villard-Saint-Christophe, Saint Honoré et Nantes en Ratier, nous abordons la 2ème difficulté de la journée, le col de Malissol, pas long mais avec une pente soutenue. C’est dans cette montée que nous rejoignons les 2 mimi (Mireille et Michel) qui nous ont avoué avoir dégusté une belle crêpe au beurre salé à la buvette du trail de Cholonge.
Michel avec ses nouvelles transmissions Rohloff et Mireille avec son mal de genou. Courageusement elle atteindra le col sous nos acclamations bien méritées.

sortie pour buveurs et intellos

La descente jusqu’à La Valette est belle, mais humide, prudence donc.
C’est là que nous parlons casse-croûte, les estomacs gargouillent. L’idéal serait de trouver un bar, bien au chaud. Mais rien en vue.
Nous demandons à un groupe de chasseurs où trouver une boisson chaude, mais rien à Lavaldens, il faudra attendre La Morte, c’est plus vivant ! (sic)
Nous sortons donc nos casse-croûtes à Lavaldens, où nous trouvons une cour à moitié abritée du vent frais, adossés au “bar associatif : La Soif (de lire !)” malheureusement fermé.
Nous profitons d’un cadeau du ciel : une éclaircie qui nous réchauffe quelques instants.

panneau situé à la sortie d’une des cattinades. Pas vu de landau !

La montée à La Morte est soutenue, mais nous avons zappé (pardon Daniel) les 2 cattinades prévues. La chaussée humide et la présence de chasseurs nous ont incités à poursuivre la montée traditionnelle. Nous ne saurons donc pas si c’était goudronné partout !
Chacun à son rythme, nous parvenons enfin à La Morte pour des retrouvailles autour de boissons chaudes, café ou vin chaud au seul bar ouvert.
La descente sur Séchilienne est moins marrante : route humide et glissante, jonchée de débris de coques de châtaigniers et de gravillons parfois.
Tout le monde est arrivé à bon port, sous le soleil… et avec le sourire.

Visionner le diaporama
(photos : Jean-François, Fernand, Christiane et Jean-Paul)

1 Commentaire

  1. Chapeau les 2 mimi (Mireille et Michel) .
    Vous pouvez nous donner votre secret ?
    Nous aimerions faire comme vous dans 15 ans .
    Le vélo est probablement la raison !

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