La Londe Collobrières Chartreuse Verne le 7 Avril 2017

Texte de Daniel Cattin

Pour cette sortie du vendredi, le briefing imposait un sondage…  En effet, après le départ décalé à Cuers pour faire le beau plateau du Siou Blanc, nous hésitions à reprendre les véhicules pour sortir de La Londe.

Les quelques propositions permettant de varier un peu le parcours en allant du coté de Collobrières, que nous avions déjà visité en début de semaine, ont convaincu une majorité pour aller déguster une nouvelle fois la glace à la châtaigne.

Le centre Azureva de La Londe offre l’avantage de débuter les parcours par une petite route qui s’enchaine par une belle véloroute jusqu’à Bormes les Mimosas. C’est important lorsque le groupe se compose d’une cinquantaine de cyclistes !!

Dès les premiers lacets du col de Caquo ven, la terrasse accueillante d’un bistrot dissuade l’un des nôtres à poursuivre l’ascension… Dommage car la vue sur la mer et le massif des Maures est superbe.

La montée au col de Babaou l’est tout autant. Contrairement à la plupart des nombreux cyclistes parcourant le secteur, nous parvenons à Collobrières en descente. Car peu avant le village, nous prenons à gauche un petit raidillon goudronné que les gens du coin ont baptisé col du Coulet. Pique-nique pour tout le monde sur le terrain de boules au bord de la rivière.

L’après-midi sera un peu quartier libre. Certains voudront aller tremper les pieds dans la mer (difficile d’en mettre davantage) non pas sans avoir gouté une nouvelle fois à la glace, évidemment. D’autres iront, en aller-retour, voir le magnifique monastère de la Verne, imposant édifice du 12eme siècle, face à la Méditerranée et dans la profonde solitude du massif des Maures.

Restauré depuis les années quatre-vingt, il est aujourd’hui apte à redevenir un lieu de vie et de prière.

Un petit groupe décide de rentrer par les chemins de traverse, même s’ils ne sont jamais les plus courts…surtout lorsque l’un d’entre eux perce une des deux roues différentes de son vélo (la plus petite, je crois). Ils arriverons tardivement mais ravis de leur variante.

Pour ceux qui préfère logiquement rouler sur le goudron, le petit col du Gambet est avalé un peu comme la glace à la châtaigne ! mais cela donne soif et le bistrot de La Londe est le bienvenu !

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