90 ans du club : montée à Notre-Dame de La Salette

dsc04297Pas beaucoup d’échauffement pour effectuer la montée jusqu’au sanctuaire de Notre-Dame de La Salette (15 km et 900m de dénivellée).

Mais la météo est bien plus engageante que la veille pour la trentaine de cyclos “routiers” qui avaient choisi cette option sous la conduite de Daniel.

L’obiou, le Seigneur des lieux, enfin dégagé et ensoleillé, nous offre ses meilleurs atouts pendant la première moitié de la montée, mais nous a aussi rappelé la tragédie du 13 novembre 1950 au passage du monument commémoratif à la sortie de la côte la plus accentuée (10%) .

Après la traversée du village de La Salette, la pente est moins forte et plus régulière. Nous apercevons bien plus haut des véhicules garés, c’est sans doute le but à atteindre, nous y arriverons !

Au cours de la montée, les mollets de Gérard G ont failli être entamés par un canidé agressif et affamé ?, en tout cas mal maîtrisé par sa propriétaire. Heureusement son vélo lui a servi de rempart !

dsc04306La fin de l’ascension est dégagée et nous permet d’admirer les paysages de haute montagne et les alpages où de nombreux moutons et autres ruminants profitent de leurs derniers instants à une telle altitude.
Le sanctuaire est en vue et nous croisons déjà les meilleurs grimpeurs du groupe qui n’ont pu résister à l’air frais du sommet, ou qui craignaient peut-être de rater l’apéro …

En longeant le parking, nous nous sommes demandés si Franco était là … en apercevant un autocar italien portant l’enseigne “Franco Viaggi” Mais non, il participait à la rando pédestre !
Notre Président du Codep 38, Alain, était de la partie et il s’est porté volontaire pour photographier un groupe de pèlerins italiens, ceux du car, sans doute !
Gérard, bien remis de ses émotions, se délecte en photographiant les messages de la bonne parole, qu’il destine, entre autres, aux CTG (voir sur le diaporama)

La descente est belle ; prudence quand même en traversant une nappe de brouillard sur le bas, rendant la chaussée légèrement humide.

A la fin du parcours, avec Alain (le baroudeur longue distance) nous nous offrons un crochet (petite distance) jusqu’au barrage du Sautet, où nous croisons le groupe “Tour du Lac” et où nous prenons le temps de voir de plus près le barrage et le pont, puis le belvédère associé.

Vous pouvez revivre ces aventures en images, grâce au diaporama (photos des participants) et à l’album transmis par Isabelle G

 

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

*

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Translate »