A gauche, le repas du BRA et à droite le ravito du BAC
Attention, un espion tente de percer le secret des pâtes
Confection des plateaux repas
Cette année encore le contrôle de Valloire était installé au bas des pistes des Verneys. La commune de Valloire nous avait fourni tout le nécessaire pour la réussite de notre organisation : barnum, tentes, bancs, tables, barrières, rampe à eau et cerise sur la gâteau : un branchement électrique « comme pour le Tour de France » (excusez du peu !). Qu’elle en soit chaleureusement remerciée !
A 7h nous commençons notre installation car il va falloir accueillir un ravito pour les 700 participants du BAC et nourrir presqu’autant de participants au BRA. Cette année je me suis adjoins l’aide indispensable de la dream team des pâtes du BRO dirigée par Jean-Louis Barro et Jean-Pierre Roux. Merci à eux et à toute l’équipe pour une coordination sans faille et le travail énorme qu’elle a fourni.
A la carte : avec ou sans sauce et/ou fromage
C’est ainsi que nous allons fournir un repas complet qui aura marqué les esprits (j’en ai même entendu parler à la Semaine Fédérale !) sans file d’attente tout t’en adaptant au goût de chacun.
Nous avons également été bien servi par une météo exceptionnelle et des centaines de cyclo dont l’état d’esprit nous a permis de les accueillir avec plaisir.
Hummmm !
Côté ravito, on s’affaire aussi : un peu de café, du thé ou autre chose ?
Dès notre installation des cyclos du BAC pourtant hébergés à côté souhaitent faire tamponner leur carte de route et profiter du ravito. La prochaine fois, on les sollicitera pour nous aider à installer de contrôle… Et soudain, moment de panique : il nous manque 50kg de pâtes ! Par chance le Carrefour Montagne de Valloire en a un stock suffisant que Pascal et Régine vont dévaliser. La pré-cuisson peut commencer et je ne vous détaillerai pas le processus mais tout est au point pour servir à temps des pâtes à la sauce bolognaise généreusement agrémentées de fromage râpe.
Un parc à vélo impeccable !
Les bouteilles rafraîchissent dans des poubelles sous la rampe à eau. Certains les utiliseront même pour remplir leur bidon. Lucien a aménagé un parking à vélo remarquable, évitant toute dépose sauvage tandis que le stand de réparation de chôme pas. Nous voyons passé quelques têtes connue, du CTG ou d’ailleurs comme Dominique Lamouller aujourd’hui vice président de la FFCT. Mais nous ne sommes pas assez nombreux pour prendre le temps de discuter. Dommage, c’est certainement un point d’amélioration.
L’arrivée à point nommé de la voiture balai ou plutôt de ses conducteurs nous apportera la main d’œuvre nécessaire au moment du coup de feu pour le repas du BRA.
Vers 16h30, le flot est tari et nous nous acheminons vers le Galibier avec quelques denrées salées qui seront finalement les bienvenues à Bourg d’Oisans. Nous auront croisé auparavant, notre Pape de la sécurité, j’ai nommé, Denis Vitiel qui cherchais à ce moment là une voiture pour convoyer deux jeunes femmes un peu épuisées mais nous sommes déjà complets. Denis dirige les cyclos vers la route de secours du Chambon, malheureusement également ouverte à des voitures de touristes qui n’ont rien à y faire puisque le tunnel est ouvert.
Vers 19h, nous rejoignons la joyeuse assemblé des bénévoles et profitons de quelques restes de l’apéro qui clôture la remise des récompense. Le ballon éclairant que j’ai loué pour le contrôle de départ du BRA s’avère fort utile pour éclairer notre repas qui clôture traditionnellement cette journée fatigante mais tellement enthousiasmante, surtout quand tout se passe aussi bien que cette année ! On se croirait presque au banquet qui marque le point final des albums d’Astérix, les sangliers et le barde en moins…
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