Deux superbes cols de proximité : L’Allimas et L’Arzelier, le 24 mai 2018

Pas d’orage prévu en fin d’après-midi. Le cycle est enfin rompu !
C’est donc confiants que nous démarrons notre sortie du jeudi, sous la houlette de Pierre qui avait prévu un beau programme de 75km avec une dénivelée de 1720m.
13 CTG (5 féminines) optimistes, qui ont répondu à l’invitation de Pierre, s’engagent dans la montée du Genevrey, avalée sans problème.

Une belle rencontre
En haut de cette côte, au croisement avec la D1075, nous apercevons au loin un cyclo se dirigeant vers nous.
C’est notre ami Alain Perroud, sacoches chargées, au départ d’une randonnée de 3 jours en direction du Vaucluse.
C’est un bonheur de partager quelques kilomètres avec lui, jusqu’à Saint-Michel les Portes, au cours desquels il nous rappelle son projet de Tour de France (6000 km environ) qu’il entamera dans quelques semaines.
Nous en reparlerons sur le site des CTG, au fur et à mesure des nouvelles transmises.
Puis il continue son périple en solitaire…

La crevaison du jour
Elle est pour Claire, cette fois-ci, rapidement dépannée par son Maurice en grande forme et quelques autres.

Nous arrivons à Saint-Michel les Portes, et la magnifique vue sur le Mont Aiguille nous scotche une nouvelle fois : il est ensoleillé et se détache remarquablement au-dessus d’un plancher de verdure.
Arrêt photo d’usage, mais comme dirait Fernand, on l’a pris des tonnes de fois en photo… c’est vrai, mais on ne s’en lasse pas !
Puis ça monte, parfois fort.
Le replat et la courte descente de La Bâtie nous fait du bien, avant la dernière rampe menant au col de l’Allimas (1352 m).
Le casse-croûte a lieu à Gresse en Vercors.
Très bon accueil au Serpaton.

Gérard, à court de forme, préfère rejoindre directement Vif par Saint Paul les Monestier.
Le reste de la troupe, après la descente périlleuse du col des Deux (1222 m),  a déjà en tête la dernière grimpette du col de l’Arzelier (1154 m), que chacun assure à son rythme.
On embrasse du regard Agathe et Sophie au passage. Toujours aussi belles !
Puis c’est la descente, on se lâche… mais pas les freins !

Petite surprise annoncée par Pierre au Guâ : on emprunte la petite route (montante, c’est peu dire !) qui traverse le village.
Mais la surprise vient plutôt de la descente qui suit : gravillons récents, pourcentages à ne pas tenir sur le vélo, donc prudence on descend au ralenti ; quelques-uns préfèrent même assurer à pied.

Mais cela ne gâche en rien le plaisir d’avoir vécu une très belle sortie ensoleillée, par une température idéale.

Merci Pierre

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