Notre Dame des Anges, paradis des cyclos ?

Après la montée chaotique, le 5 avril 2016 (il y a un an, à un jour près!) depuis Gonfaron, en passant par le col de Fourches, sur une route étroite, avec un revêtement rugueux secouant nos bécanes et nos organismes, nous voilà réconciliés cette année avec Notre Dame des Anges !

Dans le cadre de notre séjour “mise en jambes 2017” l’ascension vers Notre Dame des Anges, qui était à nouveau au programme ce 5 avril, mais depuis Pignans, nous donna des ailes et du plaisir , sur une belle petite route plus lisse, au milieu des châtaigniers pas encore en feuilles, et dégarnie de tout véhicule à moteur, par un temps superbement ensoleillé et une température idéale. Bref un régal !
En plus de nos traceurs et éclaireurs de parcours, que nous remercions et félicitons au passage, c’est l’antenne de télévision qui nous sert de guide, qui semble tantôt se rapprocher, tantôt s’éloigner pour finalement apparaître à nos côtés (mais gâchant un peu la beauté du site, à mon goût)

Au passage, au fond d’un lacet proche du sommet, une fontaine bienfaisante, la source de la glacière, redonna du courage à beaucoup de pèlerins cyclos et randonneurs.

Régal à l’arrivée avec une vue dégagée, où la table d’orientation nous donna de précieuses indications sur la géographie des lieux.
Régal aussi par la musette copieuse préparée chaque jour par Azureva.

Notre Dame des Anges, c’est le plus haut sommet du massif des Maures (780 mètres)
Le sanctuaire  est constitué d’une chapelle et d’un petit couvent cloîtré.
Selon la légende, la chapelle Notre-Dame-des-Anges, au sud de Pignans, est fondée en 517 par Thierry Ier, fils de Clovis, en souvenir d’une victoire sur les Wisigoths, au bourg des Pins (ancien nom de Pignans)… lire la suite sur wikipedia
Lire aussi l’histoire du pèlerinage de Notre Dame des Anges , le sanctuaire Notre Dame des Anges à Pignans et Des puits et des sources dans le Var et en Provence (source de la glacière)

Belle et longue descente sur Collobrières, par le col des Fourches.
Ah ! Collobrières ! nos papilles gustatives y pensent encore…
Avec ou sans cognac, la glace à la châtaigne ? en cornet ou en coupelle ? combien de boules ?
Plus un mot, chacun déguste et en redemande…
Les Cyclotouristes Grenoblois seraient- ils des anges … gourmands ???

Même si le retour tranquille par le pas du Cerf (ou col du Gambet ?) – la polémique n’a pas trouvé d’issue ! – a fait baisser la moyenne horaire, peu importe, la journée fut belle et conviviale !

Laisser un commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.

*

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Translate »