Jeudi 23 juin 2016 le Galibier

Texte de Nicole Combe:

Sortie du 23 juin 2016

Nous avons rendez vous au Freney d’Oisans en bas à 9h15 pour la montée du Galibier ; devinez qui est l’investigateur de cette sortie ? Il y a même mis au sommet, une boîte aux lettres au nom du CTG ……. sur doodlle 26 inscrits et deux canadiennes, Nathalie et Sonia qui ont participé à notre BRO.

En fait, nous étions 31 CTG ; je ne peux pas vous dire combien de femmes et combien d’hommes car pour être franche, je n’ai pas vu tout le monde.

Bien sûr que le Galibier fait toujours rêver ! Gravir ce col mythique c’est un souvenir inoubliable qui reste à chaque fois dans un petit coin de sa mémoire ; mais lors de l’ascension, pour certains, devant les difficultés, les rêves sont remplacés par des durs moments de réalité  et l’on se prend à rêver d’un petit moteur qui nous donnerait un p’tit coup de pouce !

Evidemment, notre groupe s’est étiré selon le niveau des participants, l’envie de prendre du temps pour admirer le paysage ou attendre un collègue. L’essentiel, c’est d’arriver, au sommet n’est-ce-pas ?

Certains ont préféré rester sur le paysage du Lautaret ; le vélo cela doit rester du bonheur avant tout ! mais pourquoi me suis-je entêtée à continuer ? Pour voir plus haut ? Écouter siffler les  marmottes ? même pas vu une seule ! Tu parles ! Elles avaient le temps de faire une sieste pendant mon passage !

Et les fleurs ! Si j’étais botaniste, j’aurais pu les énumérer tellement elles sont diversifiées ; j’aurais même pu faire une multitude de bouquets toutes les fois que j’ai mis pieds à terre !

Petit à petit (c’est peu de le dire car tout à gauche !)J’ai vu le sommet se rapprocher avec les encouragements de mon coach (sécurité)  ; enfin le tunnel ! Un dernier effort et pas piqué des vers celui là ! En plus, les photographes sont là pour fixer les sourires ou les grimaces selon les dispositions du moment.

Enfin, cela m’a permis de calculer et sauf erreur de ma part, qu’entre le premier au sommet à 13h05 et moi  14h16, il n’y avait 1h11 de différence sur 1715m de dénivelé ! Une broutille quoi ?

Nous sommes redescendus  tranquillement,  pris quelques photos pour immortaliser les paysages et illustrer notre site ; lorsque nous sommes arrivés au parking, il restait Cyrille, Jules, et les deux canadiennes ; Jules nous a conviés au café du coin, et nous avons pu échanger avec nos canadiennes, la place des vélos dans nos deux pays.

Le soir à la réunion, nous pouvions voir ceux qui avaient été arrosés par les rayons chauds de notre soleil qui nous avait abandonné.

Photos Fernand:                                                                      Voir Diaporama

                                                                            Photos Isabelle Guinet et Eric Laurent